Deyss Daermon, 3D...?

Deyss entra dans le grand hall du pensionnat Akatsuki. au bout de ses 6 années de voyage, ce pensionnat serait sa nouvelle maison. Il espérait, avant d'étudier, de trouver un bretteur qui pourrait lui en apprendre plus qu'il n'en savait déjà.

Cependant, alliant ses pouvoirs de dessinateur et ses talents d'escrimeurs, Deyss était déjà un jeune homme talentueux.

Ainsi, c'est à cela que ressemblait le pensionnat dans lequel il allait passer plusieurs années. Intéressant.

Un sourire apparut sur le visage du jeune homme. Il s'avança d'un pas calme et silencieux. Il ne cherchait pas la discrétion, de toute façon, le bruit de l'ouverture de la porte avait déjà du le trahir.

Deyss attendit donc que quelqu'un arrive, et quelqu'un arriva. Il entendit des bruits de pas au loin. Pour signaler qu'il était là, Deyss décida d'élever la voix...

"Il y a quelqu'un? Je me nomme Deyss Daermon, je suis le nouveau pensionnaire... Le dessinateur...!"

Deyss avait reçut la consigne d'arriver aujourd'hui même, durant l'après-midi. Il ne savait à qui il avait eu affaire au téléphone car il n'avait pas eu de nom, et il n'avait eu aucune indication quant à ce qu'il devait faire une fois entré.

Il se décida à attendre que les bruits de pas prennent un visage et un corps.

[HS:Je n'ai pas bien saisi l'univers de ce pensionnat, je fait de mon mieux pour suivre ça comme je peux '^^]

[Ne t'en fais pas, je pense que tu n'es pas le seul... Je précise aussi que d'après ta fiche, tu n'es dessinateur que de métier, sinon tu dois la modifiée.]

Cères se dépêchait de marcher en direction du hall d'entré. Le nouveau ,nommé Deyss, devait arriver dans les minutes qui approchaient. La direction lui avait demander d'aller l'acceuilir car depuis l'attaque du monstre, le pensionnat redoutait qu'un danger puisse arriver sous peu. De plus, Cères avait pour pouvoir, un petit pouvoir mais bien pratique, de voir des choses que les autres ne pouvaient remarquer. Ainsi, elle était chargée de recevoir les nouveaux, car il y en aurait plusieurs, qui arriveraient en cette journée de veille de la rentrée. Cères était légèrement essouflée, elle n'avait pas fait beaucoup d'exercices physique ces temps-ci, étant trop fatiguée pour elle-ne-savais-quelles-raisons. Lorsqu'elle arriva en haut des escaliers elle les descendit assez rapidemment pour arriver à bout de souffle devant Deyss.

- Moi moi ! Je suis là ! Enchantée Deyss, moi c'est Cères. Tu n'as pas besoin d'hurler ton pouvoir, nous le devinerons bien un jour.

Elle fit une pause pour reprendre son souffle et en profita pour détaillé Deyss. C'était un jeune garçon, un peu plus vieux qu'elle, sans doute d'un ou deux ans. Il avait les cheveux blancs et une cicatrice au visage. Cères n'était plus étonnée des physiques étranges de ses camarades, les cheveux blancs de Deyss ne la perturbait donc pas. Lorsqu'elle regarda ses habits, elle fut étonnée de voir qu'il était habillé sobrement, comme si il faisait partie d'une famille Noble qui ne l'autorisait qu'à porter un certain vêtement.

- Tu es un noble ?

Dinin se baladait dans les couloirs, tournant quand il en avait envie, perdu dans ses pensée. A force de marcher la tête dans les nuage, il sentit un choc et tomba au sol. Il avait foncé dans le mur sans s'en rendre compte. Il se releva en frottant sa tête douloureuse.

Il se retourna et vit Céres passer, comme pressée. Un sourire traversa son visage et il suivit Céres de loin. Il l'observa face au nouveau... Finalement, ils était quatre, plus trois... Son sourire s'agrendit et il s'avanca à pas rapide du nouveau.

"Bonjour Deyss, et bienvenu au pensionnat Akastuki, je me nomme Dinin..." dit il d'un ton calme avant de s'adresser à Céres. "C'est Alviss qui va être content... En tout cas, quand je suis arrivé, il m'a casiment sauté au coup car j'était un garçon et que je le sauvais lui et Tomoya...Bon, la conversation n'est pas à ce sujet non?" dit il en souriant à nouveau à Céres.

"Mais, on m'avait demandé de préciser que j'étais dessinateur, non? Euh, sinon, oui, de famille noble, pourquoi?"

Deyss fût content d'être enfin accueillit. Ainsi, il s'agissait de ces gens avec qui il passerait plusieurs années? Excellent.

Un second personnage fit alors son apparition. Dinin. Visiblement, Deyss était l'un des premiers pensionnaires... Du moins, à ce qu'il comprit... Il s'avança et salua Ceres puis Dinin.

Deyss vit soudain une ombre passer derrière les deux accueillants, au loin, dans le couloir. Il se demanda d'abord s'il n'avait pas rêvé... Ces choses lui arrivaient fréquemment du au fait qu'il pouvait voir certaines choses invisibles mais ce n'est pas pour ça que tout ce qu'il voyait, ou croyais voir, était forcément réel...

Il pencha alors la tête pour regarder derrière Dinin mais il ne voyait déjà plus rien. Il se passa une main dans les cheveux, signe qu'il réfléchissait. Puis il demanda alors:

"Excusez-moi, s'est-il passé des "choses" ici? Des meurtres, des choses du style... Ou est-ce que cet endroit est hanté?..."

Deyss réfléchit un instant encore, puis, se rendant compte de ce qu'il venait de dire, il se reprit:

"... Ahem, ne faites pas attention à ce que je viens de dire!"

Deyss fit un petit sourire mais avait surtout l'air embarrassé... Il regarda successivement Ceres et Dinin, attendant que l'un d'eux prenne la parole...

Deux personnes entouraient une jeune femme au cheveux d'un rouge ecarlate sous les rayons ardents du soleil. Deux peronne que celle-ci avait autrefois nommé 'Papa' et 'Maman'. Aujourd'hui on aurait plutot dit deux nazis qui emenaient un juif au ploton d'execution. La jeune fille portait courageusement son unique valise, qui etait d'ailleure etonnament longue, et tenais dans son autre main une ceinture ou pendaient de nombreuses fioles et bourses. Les deux personnes qui l'entouraient la trainait par les bras.

Lorsqu'ils furent arriver devant les porte de l'edifice Akatsuki, ils virent les portes se fermés. Apparament elle ne serait pas la seule nouvelle du pensionnat... Son pére biologique la jetta à terre pendant que sa mére fouillais dans sa valise pour voir si elle avait emener de l'argent ou des vivres avec elle.

Aprés une fouille en régle, ses pseudo-parents partirent avec toutes ses economies et ses vivres pour être surs qu'elle pénétrerais dans le pensionnat et ne chercherais aps à revenir dans leur village. Elle se releva et atacha sa presieuse ceinture autour de sa taille avant de commencer à rassemblé ses affaires.

Une fois ceci fait, elle poussa doucement les portes de l'imposant edifice. Elle etait tout à fait perdue dans ses pensées et regardait le sol d'un air trés énerver. C'est un épisode dont le manche de sa valise se souvient sans aucun doute car encore bien aprés, les marque de main y sont encore. Puis, elle se heurta à quelque chose... Non, plutot quelqu'un.

Elle releva les yeux, toute expresion de colére effacée de son visage. Elle observa un instant celui qu'elle avait bousculer. Il avait les cheveux blanc et portait une cicatrice à l'oeil. Elle fut légérement étonnée, elle n'avait pas l'habitude de rencontrer des personnes portant des balafres au visages.

"Pardon." Dit-elle simplement avant de contourner le dessinateur en prenant grand soin de ne tourner le dos à personne.

Elle deposa sa valise à terre et réajusta un fois de plus sa ceinture. Les nombreuses fioles qui y tenais s'entrechoquaient se qui créa un bruit de verre se fraquassant l'un à l'autre. Une fois le probléme réglé, un sourire digne des bout-en-train s'afficha sur son visage.

"Bonjour tout le monde, je me nomme Garvera et j'éspére passer d'agréable moment en votre compagnie!" Dit-elle sur un ton gai qui n'avait rien à voir avec l'air qu'elle avait coller au visage avant d'entré dans le pensionnat.

Elle detacha ensuite ses cheveux qu'on lui avait forcer d'atacher en chignon pour laisser place à une longue chevelure d'un rouge tirant sur le rose suite à la baisse du niveau de lumiére. une tentative evasive pour que personne ne remarque les bleus qu'elle a reçus suite au coup que les survivant de son village lui ont donner. Apparement, ils n'avaient pas apreçiez de voir les flammes danser au dessus de leur village.

Le sourire de Garvera s'elargit lorsque le dénommé Deyss l'appelas 'mademoiselle' ceci était totalement nouveau pour elle...

"Enchantée, je ne pense pas que le 'mademoiselle' soit vraiment utile..." Dit-elle sur un air taquin.

Ensuite, le nouveau fit la bise à Ceres, puis à Dinin. Lorsqu'il s'aprocha d'elle, elle recula d'un pas. Elle n'avait pas du tout l'habitude que des êtres humain ne temoigne ne fusse qu'un peu d'affection envers elle.

Ellz prit un teint légérement rosé mais fit comme si de rien n'etait. Elle mit sa sur le compte du fait que peu de gens l'avaient deja traitées comme une personne normale. Elle essquissa un sourire en coin en se souvenant que personne ici ne connaissait sa veritable nature.

Elle défigura un instant Deyss,toujours etonnée par son attitude. Quand elle se rendit compte qu'elle le reardait comme un animal bisare, elle détourna le regard.

"Desolée, je n'ai pas l'habitude, de telle coutumes sont totalement rejetées dans le village d'ou je vient."

*La coutume c'etait que tout le monde me linchais oui... Et, petite rectification personelle, se village n'existe plus... Je l'ai fait cramé...* Pensa-t-elle, brulant de désir de le dire à haute voix.

Espérant que ses cheveux cachent bien ces coups et blessures, elle se retourna et prit une petite bourse dans sa valise qu'elle interchangea avec un des nombreuses fioles qui pendaient à sa ceinture. Elle n'aurait sans doute pas besoin de son plus puissant poison avec ces gens.

Alors qu'elle était penchée au dessus de sa valise, elle sentit ses cheveux glisser de son dos, découvrant ainci ses divers bleus et cicarices. Pendant quelques secondes, elle se sentie paralysée, maudissant sa stupiditée. Puis, elle se redressa et se retourna, un sourire géné au lévres.

Garvera sa mis à rougir intensément jusqu'a devenir ecarlate. Il s'en etait rendu compte. A présent, quelques personnes savaient qu'elle avait deja subit quelques traitements... Violent. Sa premiére réaction fut de porter sa main à l'endrois ou se tourvait son plus puissant poison quelques instant plus tot.

Ensuite, elle recula de quelques pas; toujours rouge de honte. Elle balbutina quelques syllabes avant de finalement retourver son calme.

"Je.. Ce n'est rien, ne t'inquiéte pas..."

Elle se sentie soudain prise d'un malaise, elle recula encore jusqu'a se trouvée contre le mur.Elle ouvrit rapidement une de ses fioles. Ceci fait, elle sortit un petit canif qu'elle plongea dans le liquide que contenait le petit récipiant. Une fois la lame imbibée de la solution soignante, elle se fit une entaille au bras. Sa respiration qui s'etait embalée se calma peu à peu. Puis elle se rendis compte qu'elle avait encore plus attirée l'atention sur elle.

Elle se fit toute petite et rangea son canif. Elle se releva doucement, toujours rouge écarlate. Elle expira un bon coup et releva la tête, une expression joyeuse collée au visage.

"Se n'est rien de bien grave, juste un petit malaise suite à une plante que j'ai ingérée et qui c'est avérée mauvaise pour la santée à effet perpetuel." Expliqua-t-elle en rebouchant la fiole.

Garvera regarda un moment le plan que lui tendais Deyss. Aprés un petit moment d'absence, elle prit le plans et se dirigea vers sa valise. Elle ramassa cette derniére et ouvrit le plan d'un geste ample de la main. Elle memorisa le chemin pour parvenir jusqu'au dortoir des filles. Á cet endrois cet étrange garçon ne la poursuiverais sans doute pas pour parler de ses blessures.

Son sourire de bout-en-train retourna s'installer sur ses lévres et elle referma le plans. Elle déposa celui-ci à terre pour que Deyss puisse le reprendre. La shamane fit une petite révérence et se retira en courant d'un air gais. Une fois qu'elle fut hors de vue, elle soupira et s'adossa au premier mur qu'elle trouva. Elle se laissa glisser jusqu'a finir asise.

Elle espérait que Deyss ne la suivrais pas, elle trouvais se garçon trés bisare. Elle soupira une nouvelle fois et ouvrit sa valise. Elle sortit une nouvelle fiole qu'elle atacha à sa ceinture. Le pollen paralisan touvait s'averer utile si le dessinateur la collait un peu trop...

L'idée d'incendier le pensionnat taversa son esprit. Mais elle y renonca. Si Deyss se montrait vraiment enuillant, elle l'enflamerais peut-être. Aprés tout, on l'avais toujours ocnsidéré comme un monstre alors pourquoi cela changerais aujorud'hui?

Elle se releva et se mis à courir vers son dortoir, son air de bout-en-train retrouvée. Elle espérait sincérement qu'il n'y aurait personne pour qu'elle puisse metre de l'ordre dans ses poisons et ses produits hautement inflamables.

Cères était un peu larguée par tout ce qui venait de se passer, bien sûr elle avait tout suivit, mais pensais plutôt à autre chose. Elle n'eut pas non plus de réaction spéciale lorqsque Deyss l'embrassa sur la joue, comme il le fit avec Dinin et Garvera. Ce n'était pas une chose habituel, oui, mais ce n'était pas non plus quelque chose de choquant. Il y avait par contre, enfouit au fond de son coeur, un petit sentiment de regret. Elle aurait tellement voulu que cela fût quelqun d'autre à la place de Deyss. Elle eût quand même la présence d'esprit d'émmergée et de dire un "bonjour" joyeux à Garvera, la nouvelle arrivante. Cères était conciente que Deyss et Garvera ne seraient pas les derniers arrivés, elle prit donc congé des personnes présente, sans autres commentaires que:

- Excusez-moi, mais je suis fatiguée, et j'aurais d'autre personnes à venir acceuilir dans la journée, je vais donc me retirée.